La défiscalisation est le principal avantage qui encourage les investisseurs à choisir l’immobilier locatif. Il s’agit d’une réduction d’impôts légale et considérable peut avoir lieu sur le prix de revient, sur le prix d’acquisition, sur la surface du logement ou encore sur le coût de la rénovation. De plus tout contribuable peut choisir son dispositif c’est-à-dire, le taux de défiscalisation qui lui convient le plus. Retour sur les facteurs desquels dépend toute réduction d’impôts.
Le logement à acquérir :
Avant de parler de la défiscalisation, il faudrait d’abord penser au logement que vous souhaitez avoir. En effet, la défiscalisation dépend de l’état et de la nature du logement, c’est-à-dire s’il est neuf, ancien ou en cours d’achèvement, et s’il s’agit d’un immeuble, d’une maison ou d’un appartement. Certains dispositifs sont spécifiques aux logements anciens, tandis que d’autres concernent les logements neufs ou en cours d’achèvement. A titre d’exemple, la loi Duflot, la loi Bouvard, la loi Girardin et les statuts LMNP et LMP se rapportent aux biens immobiliers neufs ou en cours d’achèvement, alors que Malraux et Monuments Historiques concernent les biens immobiliers anciens.
D’un autre côté, la loi Bouvard, LMNP et LMP concernent surtout les immeubles alors que Duflot 2014 et la loi Girardin sont spécifiques aux maisons et appartements. Naturellement les taux de réduction d’impôts varient d’une loi à une autre.
L’emplacement géographique :
Un autre facteur aussi important que l’état du logement, on cite son emplacement ou sa situation géographique, à grande et à petite échelle. En premier lieu les lois de défiscalisation valables dans les DOM TOM ne sont pas les mêmes que celles valables dans la Métropole. La loi Girardin par exemple n’est applicable qu’en Outre-mer tandis que Duflot 2014 peut être appliquée partout en France.
Défiscalisation immobilière : les principaux facteurs
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