Les contribuables qui optent pour l’immobilier locatif peuvent choisir entre différents types de logements. En fonction du projet qu’ils souhaitent lancer, de la catégorie de locataires qu’ils visent et de la réduction d’impôts qu’ils voudraient avoir, ils peuvent se construire chacun un patrimoine de valeur tout en percevant des revenus supplémentaires considérables. Dans le cas d’un logement ancien, la défiscalisation se rapporte aux travaux de restauration.
La défiscalisation sur un logement ancien :
Contrairement aux logements neufs, les logements anciens coûtent en général beaucoup moins chers. Ils sont en plus dotés d’un style architectural original et d’un emplacement stratégique. En effet, dans la majorité des cas, ils se trouvent en plein centre ville, pieds dans l’eau, voire même dans une région provinciale. Dans d’autres cas, il peut s’agir d’un monument historique.
Deux lois sont valables pour les logements anciens à visée de restauration. Tout d’abord, on cite la loi Malraux. Elle concerne les logements situés dans un Secteur Sauvegardé et où la défiscalisation est de 22%. Cependant pour les ZPPAUP (zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager) elle augmente à 30%. Le contribuable est dans ce cas obligé de louer à une tierce personne ne faisant pas partie du même foyer fiscal. De plus la défiscalisation est échelonnée sur 9 ans, et conditionnée par la restauration complète du bien ancien acquis. Par ailleurs, avec la loi Monuments Historiques, vous défiscaliserez au taux de 100%. Le plus intéressant avec cette dernière loi, est qu’elle ne vous oblige en rien à louer votre bien et n’applique aucun plafonnement ni sur les loyers, ni sur les ressources des locataires ni même sur le prix d’acquisition. A vous de choisir le dispositif qui vous convient le plus !
Et si vous achetiez un logement ancien ?
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